Quête : Les 5 Catalyseurs .

[ N'Aélio , suite ici . ]

La magicienne referma la porte dérriére le guerrier .
La piéce ressemblait à un laboraitre , trés bien rangé , avec au centre une plateforme de rituel d'invocation .
Une bibliothéque , laboratoire , et piéce d'expérience de magie , en somme .

La guérriére et l'archére s'assirent de chaque côtés de la magicienne , qui fit signe au guerrier de s'assoire .
Celui ci s'exécuta , et attendit que la magicienne parle .
Celle ci commença :

" Tout d'abord , tout ce qui sera dit dans cette piéce devra rester secret , êtes vous d'accord ? "

La guérriére saisit le manche de sa hache , comme une sorte d'avertissement .

Je savais que c'était une simple formalité mais je répondis avec honnêteté:
"Oui, je jure sur mon honneur que rien de ce que vous me dirait ici ne sera dévoilé, à personne, et je n'ai qu'une seule parole. Si l'une de vous me surprend de divulguer des informations, je me soumettrai à votre jugement sans opposer aucune résistance."
Pendant que je parlai, j'observai attentivement les trois jeunes femmes: la magicienne et l'archère était de ravissantes créatures, quand à la guerrière, son visage était plutôt banal mais elle dégager un charisme impressionant qui avait qulquechose de sauvage. Sur son visage , je lus qu'elles avait souffert avant d'en arrivé là. Elles avait toutes trois l'air grave. Mes yeux se posèrent alors sur la hache et je stoppai immédiatement de les dévisager. J'attendis la réponse en regardant mes pieds.

Ma première réaction aurait pu être violente lorsque mon bandeau était tombé, mais je m'obligeai à me calmer lorsque l'elfe me salua. Je répondis de même, mais de manière maladroite et précipitée, puis je ramassai mon bandeau que je réussis à mettre à peu près en état par une série de noeuds elfiques dont je ne m'était pas servi depuis mon enfance. Je le renouai autour de mon front, en regardant les trois jeunes femmes comme un gamin pris en faute. Je fermai les yeux et évacuai la foule de sentiments qui m'envahissaient. Tout en restant quelques secondes ainsi, je déclarai d'un ton neutre:
" J'aimerai que cette histoire de marque reste confinée entre ces quatres mur,...à la disposition malheureusemant assymétrique."
Puis, rouvrant les yeux, je dis d'un air jovial:
" Moi aussi, je suis heureux d'appartenir à ce groupe. Et maintenant, j'ai une question.......quelques secondes pour le suspense.........Quant est-ce qu'on y va? "
Et je me mis à rire (bêtement).

Voyant qu'elles n'avaient plus rien à me dire, je sortis discrètement de la pièce et j'empruntai un dédale d'escaliers et de couloirs où je me perdit trois fois avant de pouvoir sortir a l'air libre. Je déambulait ensuite dans la ville, que je n'avais jamais visitée, de nuit qui plus est. J'appréciai sous le clair de lune l'architecture à la fois complexe et massive de la cité et je m'arrêtai souvent pour observer des batîments fascinants, taillés dans le marbre ou le granit sans aucune trace d'outils. J'écoutai aussi le bruit nocturne de la cité, le chant des ivrognes au loin, le son sourd d'une bagarre à la taverne ,et le chant des chouettes et des hiboux qui me rappela mon enfance dans la Forêt-Maison que je n'avait pas revu depuis si longtemps mais que j'avais entr'apercu dand l'elfe aux magnifiques yeux.
Je réussis à dénicher un petit groupe de platane dont les feuilles murmurait dans la nuit noire. Cédant à la fatigue, je m'allongeai entre les arbres et je m'endormis.

Après une nuit sans rêve, je fus réveiller par le doux contact du soleil qui filtrait entre les branches sur ma joue. Je m'assis d'abord, puis je me levai, resserant par réflexe mon bandeau. Je ramassai mon sac, calai la mortensen à l'intérieur, vérifiai l'état de ma lame et je me rendit à l'entrée de la cachette où je m'étais rendu la veille et j'attendis l'arrivée des trois jeunes femmes.

Surpris par les cris, je dégainai rapidement ma lame et je posai mon sac au sol pour éviter qu'il me gêne durant un hypothétique combat. Puis j'entrai précipitament dans l'écurie royal (ayant une forme parfaitement symétrique) en parlant assez fort pour couvrir le vacarme:

"Que se passe-t-il ?!"

[Court mais j'ai pas matière à faire plus long. Et M, j'aurai jamais imaginé que tu oses prendre le chat potté comme image . ]

Je fut stupéfait devant les étranges montures de mes nouvelles soeur d'armes. Me remettant de mes émotions, je ressortit de l'écurie pour reprendre mon sac et je rerentrai aussitôt. Je me dirigeai ensuite vers le box désigné plutôt par l'archère en contournant largement les extraordinaires bêtes et je rangeai ma lame dans son fourreau. Je m'approchai alors du box lentement et à pas de loup, en contôlant le moindre de mes mouvements pour qu'ils ne paraissent pas hostiles à mon future destrier. Je regardai alors à l'intérieur du sombre carré formé par des planches où se trouvait l'animal...

Reproduisant l'état transadantal qui m'avait affecté lors des paroles de l'oiseau, je répondis mentalement:

"Bonjour à toi, honorable créature ailée, il semble que nous allons faire équipe durant quelques temps.
Comment t'appelles-tu ?"

Je me retournai et remerciai alors brièvement d'un signe de tête les trois jeunes femmes pour cette magnifique monture, la plus belle que je n'avais jamais vue.

[Merci pour le nom !!]

Je tressaillit légèrement avant de répondre:

"Excusez-moi, noble créature, pour mon impolitesse.Il semble que nous allons nous côtoyer quelques temps. Je me nomme N'Aélio..."

Je me présentai ainsi quelques minutes à l' hybride, lui posant quelques questions discrètes sur son histoire.Au bout de quelques instants, je me retournai vers mes "soeurs d'armes", un grand sourire fendant mon
visage:

"Je crois que notre voyage peux commencer"

"Tête d'acier", mais pour qui se prenait-elle. Je ne relevai toutefois pas la remarque.
J'accompagnai mon nouveau compagnon à l'extérieur et m'excuser déjà mentalement:

" Pardonnez-moi si au début je m'installe mal sur vous, c'est la première fois pour moi et pardonnez aussi toutes mes manoeuvres maladroites. Mais d'abord, je vous demande l'autorisation de grimper sur votre dos."

Puis je montai précautieusement et avec habilité sur le dos de ma monture, m'installant comme je l'aurais fait sur un cheval ,et lui demandai mentalement de rejoindre les deux créature déjà un vol tournoyant au dessus du rhinocéros.

Je fus émerveillé par la puissante musculature insoupçonnée de l'aigle. Je mis quelques minutezs à m'habituer à ce nouveau moyen de transport. Après avoir "attraper le coup", je me tournai vers les jeunes femmes:

"Maintenant que nous sommes parés, où allons-nous ?"

Je réfléchit longtemps avant de prendre ma décision.
Camdibor : s'aurait été du suicide d'aller maintenant dans la ville du mal.
Le canyon : endroit inconnu sûrement dangereux.
La cité des nains : petits alliés sympathiques. Ce serait la dernière destination, histoire de finir tranquillement.
J'optai donc pour la forêt des elfes, début dangereux mais pas trop quand même.
Je m'exclamai donc:

" D'accord mesdemoiselles, direction la forêt des elfes et sus à l'ennemi !!"
Puis je demandai poliment à ma monture de se mettre en route.

Les elfes : Techniqueemnt des alliés de Walentir .
Mais se sentant tellement protégé dans leur forêt magique qu'ils prétaient peu attention aux autres peuples ...
Mais il avait choisis sa destination .
Sa monture poussa un cri aigu , et s'envola à totue vitesse , suivi par les compagnes de son maître que ce soit par les airs ou sur terre .
L'aventure commençait VRAIMENT .


[ Prochain message de ta part à Camdibor , décrivant le vol et le début du voyage vers le Nord . ]