espionnage des troupes énnmis (suite)

N'ayant pas le choix et bien que ne oulant pas prendre de risque suite à la nouvelle qu'il avait apris, il décida:


D'accord, alumons un feu mais cette nuit, nous ferons des veilles par groupe de 2.
Dit-il pour éviter les actions du traitre-espion

[If you can more write please... Thank you.]

Le menestrel se propose pour le premier tour de garde:

"Je me tiendrai au sommet de ce tronc et ferai signe à la moindre incursion."

Le paladin le regarde monter, puis se désigne avec le mage pour la phase suivante.

L'orque regarde tout le monde bêtement et sourit. De toute évidence il ne comprend pas de quoi vous parler. Il se met à tourner la tête dans tout le sens et à regarder au dessus de la cime des arbres, de toute évidence il cherche une tour de garde pas loin.
Le mage s'approche de lui pour lui expliquer le principe. L'orque te regarde alors et le mage te dit:

"Il semble vouloir participer en restant à vos côtés."

Le paladin commence quand à lui d'allumer le feu tant attendu.
Après toute cette marche, il vous est bien forcé de vous rassasier, vos estomacs gronde alors.
Que fais tu ?

[Je pars du principe qu'on a amené des victuailles]

Evandar sortit une partie de la nourriture : sois 2 morceaux de viande et quelques fruits.
Il fit cuire la viande pendant une demi-heure et la partagea en cing partie égale ainsi que les fruits.
Quat tout le monde eut entamé son repas, il se proposa d'aller donner au paladin son repas afin de pouvoir vérifier comment e comportait-il. Il commenca à marcher et arriva rapidement en haut. Il dona au paladin son repas tout en observant tout geste suspect

Le paladin te regarde et lève la main:

"Je ne puis accepter, mon jeûne a commencé."

Il te regarde dans les yeux et ajoute:

"Pourquoi me fixez vous d'un tel oeil ?"

Son regard est devenu froid et agressif tout en restant posé. Il pose calmement la main sur son arme. Soudain tu entend un craquement derrière toi, un main vient se poser sur ton épaule:

"Laisse notre ami à ses prières, il ne faut pas le déranger quand il est seul. Il devient de mauvais poil."

Tu peux voir la figure du mage, souriant et amical. Le crépuscule est déjà loin et aucun mouvement ne peut être perçut hors du camp tant la nuit est noire.

[j'ai confondu le menestrel et le paladin? PAS GRAVE]


Evandar, loin de s'attendre à cette réaction s'excusa d'un geste de la main et partit se coucher. Ne trouvant pas le sommeil, il se remit en m'moire les évenements de la soirée. Il savait que le plus important dans les prochains jours sera de trouver le traitre. Demain son premier objectif sera d'observer le menestrel avec qui il n'avait eu aucun contact important pour le moment. C'est sur ce qu'il s'endormit en pse rappelant qu'il devrait faire son rapport le lendemain matin et qu'il serait bientot réVeillé pour son tour de garde.

[désolé pour l'attente]

Le sommeil te gagne rapidement, mais sitôt endormie sitôt réveillé. Tu vois le menestrel qui te secous gentiment pour te réveiller. Il semble avoir finit son tour de garde et une fois qu'il te voie éveillé s'occupe de réveiller l'orque en le tapotant sur l'épaule. Le peau-verte se reléve d'un seul coup, affichant son habituel sourire, sans s'en rendre compte il vient de donner un coup dans le nez du ménestrel qui tombe à la renverse, trébuche puis exécute une roulade arrière pour se remettre sur ses jambes. Il se tient à présent le nez et le pince en jurant sur tout les orques de la terre.
L'orque le regarde bêtement sans comprendre se qui arrive à son camarade beau-parleur.
Le coup ne semble pas avoir fracturé son nez et le sang ne coule pas. Il te regarde puis part vers sa couchette en grommelant. Le demi-orque se tourne vers toi puis s'avance pret du feu et sort un morceau de viande pour le faire cuire.
Apparement il n'y a rien dans les environs et le feu n'a pas alerté qui que se soit.

Rien à faire! d'une parce que, comment expliquer à un orque qu'il faut éviter de gaspiller des provisions?
D'un autre coté, ce dernier est dur à accuser étant donné qu'il ne peut quasiment pas communiquer.

De deux, parce que rien ne se passe aucun ennemi en vue. Evandar médita un moment sur l'identité du traître, il avait confiance au ménestrel malgré le peu de contact avec lui. Son investigation continuera demain.

Il décida de profiter de ce temps pour utiliser la bague et faire son rapport. Il commença la communication
et fit son maigre rapport.

La vision de ton supérieur t'apparait et te dit:

"C'est insuffisant, essayez de trouver quelque chose du côté du mage. Ne nous contactez plus avant d'avoir une piste sérieuse."

La vision disparait et devant toi se tient le mage. Il t'observe, un air grave traverse ses yeux puis il te sourit et dit:

"J'ai eu du mal à dormir, je me suis réveillé dans l'intention de grignoter un bout."

Tu vois qu'il tient un couteau à la main. Il tente de le cacher dans les plis de ses robes:

"Tu devrais aller te coucher, tu as une mine affreuse."

Il te sourit et rajoute:

"Je finirai la nuit."

[j'ai pas beaucoup de temps désolé]

evandar visiblement fatigué lui répondit en aquiescant:

-t'as raison, je vais me coucher

mais evandar se coucha en regardant discretement les bruits et les mouvements du mage. Pendant 1 demi-heure avant de s'endormir.

Tu vois que le mage s'approche de la couche du paladin. Une fois à la hauteur de celui-ci il tourne la tête de tout les côtés et prend un objet dans son sac pour le placer sous l'oreillé de son compaire.
Il regarde dans ta direction, fronce les sourcilles et part vers sa couche.
Le paladin n'étant pas sur sa couche au moment des faits et la mage semblant dormir tu peux agir comme tu le souhaite.

Evandar se leva. Il voulut donner l'impression de le trouver involontairement. Il etait un peu énervé que le mage l'ait menti en ne finissant pas la nuit. Evandar partit vert le feu mangea une minuscule bricole se chauffa les mains dans cette froide nuit. Puis, au bout de quelques minutes il revint vers sa couchette. Et, comme s'il le fesait involontairement se rapprocha de la couchette du paladin, éfleura l'oreillé, pris une posture étonnée en sentant l'objet et l'enleva lentement et le regarda

Tu prend l'objet dans tes mains et vois une poupé en paille, ses yeux sont en pierre précieuse et ils semble de fusiller de leur instense vision. Plus tu la garde sur toi plus tu te sent... étrange.
Tu tombe dans les pommes avec pour dernière vision cette poupé et un bruit de pas derrière toi. A travers les brumes de ton inconscient, tu entend des bruits de combat. Des sorts semble pleuvoir et un crie déchir ton sommeil.
Tu es à présent réveillé, tu es allongé sur le sol dans une position grotesque, les fesse en l'air, et tu vois l'orc courir pour tenter de frapper le paladin tandis que le mage, à son tour, incante un sort dans leur direction. Tu vois que le menestrel c'est caché derrière un arbre, deux dagues de jet dans chaque main.
Le paladin semble prit d'une folie furieuse et asséne un coup de son arme au peau-verte, se dernier, sous la puissance du coup, recule d'un bon métre. Tandis qu'il essaie de se relever, le menestrel envoie une de ses dagues sur le paladin. Celui-ci dévie le projectile et fonce vers le mage. Se dernier termine alors son incantation et lance vers le guerrier un rayon bleu. Il l'esquive de justesse puis donne un coup d'épaule avant de s'enfuir dans la forêt. Le mage suffoque et reste accroupit par terre.
L'orque se reléve et semble perturbé de ne pas trouver le paladin tandis que le menestrel cherche sa dague. Il s'écrit:

"Pas encore !"

Que fais tu ?

Evandar savait qu'il fallait à tout pris rattraper le paladin mais était-ce possible? Ce serait difficile en tout cas. tout de même il rangea la poupée et ordonna la levée du camps immédiate. AU BOUT DE QUELQUES minutes, ils étaient près à partir. Mais, avant de donner l'ordre de départ, evandar se raprocha du menestrel pour lui demander:

Pourquoi as-tu dis pas encore?

Apres sa réponse il faudrait partir en vitesse et prévenir le conseil des 10 à la premiere occasion.

En effet, les affaires furent rapidement rassemblées et le menestrel te regarda rapidement avant de jeter un coup d'oeil au mage. Ce dernier inclina la tête et le rouquin te dit:

"Cela va durer si je doit le narrer. Le guerrier de lumière, en armure guerrière, porte comme ennuis une skysophrénie. Chaque mardi, comme aujourd'hui, il devient fou et donne des coups. C'est pourquoi, le mage doit, grace à sa magie, le rendre gentil. Nous le fesions à son insu pour éviter qu'il se tue."

Il stoppe ses rimes et se retourne pour regarder le mage qui à son tourne déclare:

"Nous devons y aller au plus vite, il doit chercher un point d'eau, on l'a toujours retrouvé comme ça. Par contre je ne comprend pas, je n'ai pas trouvé la poupé qui devait l'endormir."

Ils se mettent alors à la recherche de leur compagnon et fouille dans leur sac pour trouver une carte.

aille! Evandar ne s'y attendait pas du tout et se sentit un peu idiot sur le coup. Mais, il ne laissa rien paraître. Il dit qu'il n'avait pas de carte et cacha dans un recoin de son sac la poupée. Il pensait que si sa situation s'empirait, il expliquerait tout aux groupes de a à z en incluant surtout le passage sur le traître. Mais il n'en était pas la... Il allait d'abord essayer de trouver une carte, chercher le paladin, et cacher la poupée dans un coin de ses affaires. Il interrompit ses pensés en demandant à ses compagnons s'ils avaient une carte.

La poupé est rapidement caché sans que personne, apparement, ne l'ai remarqué. Tu n'as pas de carte sur toi et tandis que tu leur pose la question, le menestrel répond:

"En effet, j'en ai."

Il fouille son sac pendant plusieurs secondes et en sort finallement un parchemin replié. Il le met à plat sur son sac et dit:

"Là, il y a un ruisseau, il pourrait être à ce cours d'eau."

Le mage regarde la carte rapidement et l'orque aussi accompagnant le mouvement. L'elfe murmure:

"On aura tôt fait de le retrouver mais j'aimerais bien savoir ce qu'il est advenue de cette fichue poupée !"

Il pose son regard sur toi, l'air songeur, puis ramasse son sac et commence à partir. Le menestrel fait la mou puis lui emboite le pas et finallement l'orque aussi.
Vous arrivez rapidement au cours d'eau précédement évoqué, le paladin est à terre, une fléche dans son épaule.
Que faites vous ?

Evandar ne s'attendait pas à le trouver si facilement mais s'inquiéta de le voir dans cet état. Il alla vers lui pour voir si un nom était gravé dessus. Il se rendit compte qu'il avait peut-être provoqué pour une simple enquête la mort d'un homme. Pendant quelques instants, il était resté béat sans que ses compagnons s'en rendent comptent. Mais, il prit tout son courage et s’approcha du ménestrel et du mage. Il leur dit:

-quelqu'un a des rudiments de médecine? Pas moi en tout cas. Je n'ai rien non plus dans mon sac.

Il s’apprêta à rajouta quelque chose au sujet de la poupée mais ses mots se dérobèrent. Son cerveau lui disait d'attendre. Evandar était donc là devant eux attendant et espérant une réponse positive.

Alors que tu parle, une fléche vient se planter dans un tronc d'arbre juste à côté de ta tête. Tu n'apperçoit personne autour de toi, néanmoins des grognement se font entendre.
Le menestrel se cache tout en sortant ses dagues de jet le mage incante un sort et l'orque continue de sourire bêtement.
Le paladin se reléve faiblement, se tenant la tête d'une main. Il semble être à nouveau lui-même et cherche du regard son agresseur. Soudain il crie:

"Peaux-vertes !!!"

Il commence à charger vers la forêt, à droite de là où vous vous trouvez et enfin sur ce côté une dizaine d'orques s'approchait furtivement et se tourne à présent vers le paladin qu'ils croyaient mort.

Que fais-tu ?

evandar, surpris, attrapa d'un geste rapide son arc et sortit tout aussi rapidement trois flèches de son carquois. D'un geste rapide, il tira la première puis la deuxième et enfin la troisieme sur les trois orques les plus proches. Mais avant de constater le résultat, il reprit trois flèches et retira.

Evandar tira ses trois fléches, mais pas assez vite. La première vint transpercer un arbre, la seconde se fichant dans le bras d'un orque, qui ne broncha même pas, et la dernière restant pendu à son arc. Pendant ce temps, le paladin avait déjà atteind les orques et le mage lançait un cône de givre sur ses cibles. Le menestrel avait sorti ses armes de jet et perça un oeil, puis il se plaça de sorte que son adversaire ne puisse pas le voir, cachait qu'il était on ne pouvait le deviner.
Quant au demi-orque, celui-ci ne bougea pas. Il restait là impassible à regarder les orques arriver. Il n'avait même pas sorti ses armes et un sourire se peignait sur sa face.
Il se tourne vers le mage et lui charge dessus, dégaine sa hache et décapite d'un revers le sorcier.
Le paladin en termine avec un assayant et voit se qui vient d'arriver. Le menestrel est stupéfait et toi... et bien, tu es la prochaine cible du demi-orque.

Evandar vit l'orque. Evandar vit sa vie. Evandar savait qu'il ne lui restait que quelques secondes à vivre. Il ne réussirait jamais son rêve. Il ne ferait plus jamais rien. Il finirait sa vie sans savoir. Sans savoir ce qu'il adviendra de Walentir. Sans savoir ce qu'il adviendra de ses compagnons. C'est cruel de ne pas savoir. Aujourd'hui, il fait beau, c'est une belle journée pour mourir. Toutes ces pensées défilèrent dans sa tête en un dixième de seconde. Mais, lorsque la dernière pensée sortit de tête, Evandar se dit que ça peut aussi être une bonne journée pour survivre! Il se ressaisit, prit deux flèches de son carquois et les tira sur le demi-orque.

{dsl pour le temps de réponse, probléme internet}

Ta fléche rate sa cible, n'ayant pas le temps de recharger tu vois arriver sur toi la lame de la hache du demi-orque. Un fracas se fait entendre, la lame du paladin a intercepté celle du peau-verte et le fait trébucher d'un coup d'épaule. Le menestrel acheva de s'occuper des orques qui venaient pretter main forte au traitre. Le paladin entama alors un combat avec son ancien compagnon. Malgrès son expérience des armes, la créature avait pour elle une force physique et une rapidité hors du commun.
Le menestrel arrive derrière toi:

"Un d'eux c'est enfuit, il ramenera des amis."

Que fais tu ?

Que faire? Evandar savait que ce serait dur de battre les renforts, mais possible. Mais d'un autre coté, il se posa une question: "Quelle est ta mission?". D'espionner les troupes ennemis. Alors pourquoi ce combat? Pour attaquer le traître? Pour tuer des gens? non. Il n'y avait donc aucune raison de se battre. Il y avait donc toutes les raisons de se replier. Il fit rapidement une liste des priorités: 1: Se replier, 2: Prevenir le conseil des derniers évènements 3: retourner à l'objectif initial: espionner les ennemis. Il dit alors:

-"Replis! Notre combat n'est pas ici! Je vais les tenir à distance avec mes flèches!

Ainsi, alors que le reste de son équipe se repliait, il commenca à leur envoyer des flèches pour les laisser à distance.

Le paladin et le menestrel prennent la fuite dans les bois tandis que les renforts orques commencent à hésiter pour vous poursuivre en voyant les corps meurtris de leurs compagnons. Tes flèches se plantent de manière hasardeuse dans les arbres et les broussailles, les peaux-vertes n'insistent pas et se replis de crainte certainement de subire l'ultime récompense.
Tes compagnons s'arrêtent et te regarde, tu sors l'objet permettant de communiquer avec le conseil. Ce dernier t'apparait après quelques secondes d'attente:

"Soldat au rapport?"

Il S'agit de la silhouette doré, son visage flou et ses mains sur une table. Peu à peu les autres membres du conseil apparaissent, te voila entouré par le conseil des 13.

[Désolé pour le retard]

Sur cet ordre, il commença son récit, après s'etre éloigné des autres membres, il parla d'abord de son investigation, ses doutes. Puis il enchaîna sur l'objet qu'il avait pris de sous l'oreiller du paladin, pour son enquête, et ce que ca avait provoqué. Il enchaîna sur la recherche du paladin, sa découverte. Ensuite, il parla du combat, des paux vertes, de la traîtrise de l'orque. Après, il enchaîna sur la mort terrible du mage, et sa décision à prendre. Là, il raconta son choix et l'expliqua: ce n'était pas le but de la mission.

Puis il demanda:

"mais que dois-je faire? Que devons nous faire?"