Chasse en forêt [Quête de Daminia]

La forêt bordant Camdibor n'est pas ce qu'on peut appeler une forêt accueillante. La concentration de magie noire en provenance de la ville avait forcé la faune et la flore à muter, il y a bien longtemps déjà, et l'atmosphère s'en ressent.
A peine arrivée, tu aperçois déjà un des effets de ces mutations. Un petit lapin, visiblement effrayé par ton approche, s'éloigne de toi par petits bonds. Un mignon petit lapin, tout blanc... avec deux paires de yeux rouges et des petits bois de cerfs sur la tête. Ah, et des tentacules aux quatre pattes, aussi. Et alors qu'une paisible coccinelle passe à sa portée, il déploie une langue aussi longue et visqueuse que celle d'un caméléon pour la happer et la mâcher.
Mais même les coccinelles ne sont plus ce qu'elles étaient : le lapin se tord rapidement de douleur alors que des boutons lui poussent sur le corps. Il finit par s'effondrer sr le sol, les boutons percés suintant de sang et d'un liquide jaunâtre.

Non, la forêt de Camdibor n'est décidément pas un endroit accueillant.

On y trouve de petits animaux, comme ce lapin (qui malgré son étrange apparence, est comestible) et des animaux plus gros, allant du sanglier au cerf à six bois. Les oiseux sont assez variés mais la plupart d'entre eux n'excèdent pas le demi-mètre de long.

Lorsque tu entres dans la forêt, tu ressens tout de suite la magie ténébreuse qui l'en imprègne. Maintenant, il faut te décider : comment vas-tu chasser ces bêtes ? En construisant des pièges ? Avec ton arc ? Et quelles sont les bêtes que tu vas viser en priorité ?

Voyant que l'homme en avait fini avec moi, je partis. Le faible soleil, caché par les nuages noir ne présager rien de bon, mais j'avais une quête. Je ne vais pas me dégonflé pour si peu. En plus ici, il y avait surement des personnes qui pouvaient ressentir les émotion et elle ne voulait pas passer pour une lâche. Je serais une Camdiborienne, pas une minable. Je pensa au secrétaire qui avait perdu son fils mais qui travailler encore et cela me donna un peu de force morale. C'est une simple chasse. J'en ais déjà fait.
Lorsque enfin je sortit de la ville je me transforma et , à l'aide de mon odorat je suivit la piste qui m’amènerai à la forêt. Une excitation me pris lorsque enfin je reconnue les odeurs propres a un bois. Je bondi dans cette direction mais arrivé à l’orée de ce dernier, je m’arrêta net. Un truc n'allez pas. Ses narines furent secouer par un relent de... Magie noire ? Je me tourna vers la ville et me dit que c'était peu-être "normal" après tout.
Mais je n'étais pas au bout de mes surprise. A peine arrivée, voilà que je tombe sur un lapin blanc. C'est pas vrais elles sont toujours sur moi ces bestioles! Mais celui là n'est pas normal... Je rêve ou ?? Non, il à bien des tentacules à la place des pattes et des bois ? Mais quelle est cette malédiction ? Le pire fut lorsque une jolie coccinelle passa près de lui et fut happé par une langue de caméléon.
Je retient un hoquet de surprise quand le lapin se tortilla de douleur. Retient un vomissement quand des boutons poussa sur son corps et manqua de m’évanouir quand ils explosèrent dans un pluies de sangs et d'un liquide jaunâtre.
Rien ne m'avais préparé à ça et j'en fut estomaquer. Mais quel était cet endroit ? Une forêt ou les enfers ?
Je jeta un dernier coup d’œil à la carcasse du lapin et repartit, m’enfonçant dans entre les arbres à la recherche d'animal moins bizarres.
Une odeurs reconnaissante entres toute me parue alors. Un cerf était dans le coin. Un cerf ou plus. Je n'arriva pas à définir le nombre. Je lâcha mon arc que je tenais entre mes crocs et réfléchi à la meilleure façon de chasser ses intelligentes bêtes.
Déjà j'étais à contre sens du vent. C'était une bonne chose. Décidée, je repris forme humaine et attrapa mon arc que je tendis, puis une flèche et para à tiré. Je visa celui au grandes cornes et malgré son nombre important, n'avait pas l'air si différents que les autres. Mais après le lapin, je m’attendais à tout... Ou presque...

Effectivement, un groupe de cervidés paissaient paisiblement à quelques mètres de la jeune femme. Un cerf à sept bois (il paraîtrait qu'ils sont complexés parce-qu'il s'agit d'un nombre impair, mais personne n'a jamais réussi à le prouver) accompagné de trois biches et du même nombre de faons, deux mâles en une femelle. Bandant ton arc, tu attends que la cible soit à découvert avant de tirer.


Jet de Puissance / Précision : 12 / 6


Malheureusement, tu doit être un peu rouillée. La flèche érafle le dos du cerf qui brame avant de courir à toute vitesse, suivit de sa famille. Seul un petit faon n'a pas eu la présence d'esprit de les suivre et il se retrouve seul, à brailler après sa maman.

Que faire ? Suivre la piste du cerf ne doit pas être bien difficile, il a perdu un peu de sang et une petite piste rouge bien distincte marque sa fuite. Tu peux aussi achever le faon, ça fera toujours ça de viande.

Je me concentra. Dès que la cible fut à porté de flèche, je tira. Malheureusement, la flèche éraflera le dos du cerf qui brama avant de partir avec trois biches et deux faons. Cela aurait fait une bonne partit de la part de viande demander. Je jura. Puis, je vis le petit faons qui n'avait pas eu la sagesse d’esprits d'aller avec sa mère. C'est alors que l'odeur du sangs parvient à mes narines. Je vis rouge. Mon cerveau se brouilla et je pris ma forme animale. Le renard en moi pris le dessus sur l'humaine. Et il n'avait qu'un mots à en tête : Nourriture. Je pris mon élan et sauta sur le petit animal. Mes crocs se fermèrent sur sa gorge et quelque seconde plus tard il mourra.  Je déchiqueta et dévora la viande tendre du petit faon. Ma faim assouvi, je me lécha les babines et m'étira. Je repris forme humaine. Je ramassa mon arc qui était tomber pendant ma transformation, et renifla l'air. Le cerf et sa famille avait laisser une telle odeur de peur et de sangs qu'il serais facile de les suivre.

Je les trouva près d'un ruisseau. Je passa loin d'eux pour allez boire. Ma soif estompée, j’ évalua la situation. Les petits étaient entre les femelles et le mâle tournait autour d'elles. Je grimpe sur un arbre. Ici l'odeur du sang était si forte que je dû avoir un grand contrôle pour ne pas succomber à la folie.
Mon arc paré à tiré, j’espérai que le coup de la première fois était juste de la malchance. Je laissa partir un flèche en direction du cervidé, et en tira une seconde par pure précaution....

Jet de Puissance / Précision :
Flèche 1 : 20 (ouh cette chance !) / 18 (re-belotte !)
Flèche 2 : 18 / 20 (Mais qu'est-ce qu'il a mon dé ce soir ?! Oo)

La première flèche part à toute vitesse. Le cervidé n'a même pas le temps d'entendre l'attaque lui fondre dessus : la pointe s'enfonce dans le poitrail, juste sous le cœur, tranchant probablement de nombreuses artères. La bête meurt avant même de sentir le coup l'atteindre.
La deuxième flèche dépassa le cadavre de la bête. Par un coup de chance étonnant, elle s'enfonça dans la cervelle d'une des biches. Le troupeau s'élança immédiatement dans les fourrés à la vue du carnage, bramant la mort des leurs.

En t'approchant des cadavres des animaux, tu te rend compte immédiatement que quelque chose cloche : une odeur... malsaine. Il te faut quelques minutes et une petite ouverture du ventre de la bête pour comprendre : les deux animaux sont atteints d'une sorte de peste magique. En gros, même si le cerf pèse plus d'une centaine de kilos, seule une petite partie de la viande sera comestible. Et vu que les bois de ce cerf semblent peser autant que le reste de son corps, il ne va plus rester grand chose. Mais tu te mets patiemment à découper la viande.

Jet de dépeçage : 11 / 10
Jet de rencontre : 12

Au bout d'une demi-heure, tu te relève, le visage couvert de sang et de sueur. Le mâle t'a à peine rapporté dix kilos de viande, moitié moins pour la femelle. Et la quête demande de rapporter vingt kilos de viande. Il t'en manque donc cinq, à peu de choses près. Galère...

Tout à coup, un bruissement dans les fourrés attire ton attention. Tu te retourne pour voir un gobelin. il ressemble à tous les gobelins : petit, vert, un pagne en feuilles et un marteau en os et en pierres. Sauf qu'il a de grosses défenses qui lui dépassent de la bouche. Un effet de la magie noire de Camdibor ou juste un problème génétique ?

Le gnome s'arrête aussitôt en te voyant et dégaine son arme. Visiblement, il en veut à ta viande. Tu peux l'affronter ou bien essayer de négocier avec lui. De tout façon, la viande de gobelin n'est pas comestible (à part si on n'est pas difficile, mais quand même !). Que fais-tu ?

Je regarde la flèche partir. Le poitrail est transpercé par cette dernière. Ma proie meurt sous le coup. Un coup étrangement puissant contrairement à toute à l'heure. Et, comme si la chance était avec moi, la seconde flèche fonça droit sur la tête d'une biche qui s’écroula. Je suis tellement heureuse qu'un jappement joyeux m'échappa. Je couru vers mes victimes... Mais … Je renifle une autre fois avant de comprendre que mon odorat ne me jouait pas des tours. Une telle odeur provenant d'un cadavre fraîchement tuer ne sens jamais ça... Je leva les yeux au ciel me demandant pourquoi tout cela pour tomber sur une viande qui risque de pas... Non il doit bien avoir des parties comestibles dans ces bêtes ! Malgré mon dégoût je m’approche du cerf et sort un couteau, commençant à découpé la viande. Vite, je vois ce qui ne vas pas... La peste... Ce cerf à une peste mais pas normale. C'est une peste magique ! "Satané de ville maudite !" Je vais voir la biche. Elle est atteinte de la même maladie. Je peste, et commence à trier la viande propre et mangeable. D'habitude je mange sur place sans dépecé comme le … "Non !!! Et si ce faon avait la même cochonnerie ! " Bon c'était pas le moment de m' inquiétée de ça.
Au bout d'une demi heure, je me relève couverte de sang et de sueur. "Un bon bain me ferais pas de mal". Mais à peine ces pensées traversèrent mon esprit, que je sens une présence mal intentionnée.  Je me retourne et vois une horrible créature. Moi qui croyez avoir dépasser le cap des bizarreries, j'étais servit. Devant moi, un gobelin. Voyant qu'il regarder MA viande, je pris position de défense avec mon petit couteau de dépeceur. Je regarda ma  misérable arme puis le marteau de l'ennemi. Je soupira désespérée. Que faire avec "ça" contre l'autre !! Je grogna à l'intention de la bête, essaya de lui faire comprendre que c'était MA viande et que je devrais mourir pour qu'il puisse l'avoir. Je n'avais pas fait tout ça pour voir mes quinze kilo de viande seulement pour les voir volé par ce gobelin ! Voyant qu'il comprenait pas, je lésa partir un cris mélange animal-humain assez étrange, et attendit avant de m'avancer vers la bête...

Jet de Rapidité :
Daminia : 6
Gobelin : 2

Le Gobelin ne semblant pas vouloir bouger, tu passes à l'attaque la première.

Jet de Force / Précision - Parade / Contre-Attaque :
Daminia : 17 / 18
Gobelin : 8 / 17

Ton bras part à toute vitesse vers la créature qui lève misérablement son petit marteau pour se protéger. Ton coup lui tranche avec force le bras gauche qui ne pend plus que par un bout de chair. Le gobelin hurle et tente de contre-attaquer :

Jet de Force / Précision - Esquive :
Gobelin : 2 / 5
Daminia : 9

L'attaque est lente et peu précise et tu n'as aucun mal à sauter sur le côté pour l'éviter. Mais le gobelin n'en a pas fini et il se rue de nouveau sur toi !

Jet de Force / Précision - Esquive / Contre-Attaque :
Gobelin : 3 / 2
Daminia : 1 / 9

Sa hachette part vers ta main. En voulant esquiver son coup, tu fais un pas de côté, te prend les pieds dans une racine et trébuche [-2 PVs]. La pierre coupante de la hache t'érafle la main [-1 PV]. Pendant que tu te relèves, la créature, recule, t'empêchant de contre-attaquer.

La situation se résume pas trop mal : ton adversaire a un bras en lambeaux tandis que tu as un genou écorché et une main éraflée. De plus, tu as toujours ton arc avec toi et ton petit couteau tandis qu'il n'est armé que d'un petit marteau.
Que fais-tu ?

Pourquoi il bouge pas? Je le regarde et des que je comprend qu'il veux pas avancer, je passe à l'attaque.  Je me savais pas si rapide mais mon bras parti comme une flèche et le gobelin n'u ps le temps de faire quelque chose que ma lame de couteau qui tranche le bras de la pauvre créature. Il hurle fort en contre-attaquant. Son cris me surprend et en voulant esquiver je glisse et tombe à cause d'une racines. Ma main et toucher légèrement la hache qui me blesse très faiblement.
Alors que je me relèvent lui recule. Je le regarde et me demande quoi faire. J'ai rien mais mon adversaire et très mal en point.  Il a fais que se défendre.  Je le regarde encore et me dit que je peut ps le laisser comme ça il faut que je l'achève. Je prend mon arc et tire une flèche visant entre les deux yeux...

Dextérité :
Daminia : 9
Gobelin : 19

En te voyant sortir ton arc, le Gobelin se précipite sur toi. Sans doute espère-t-il te mettre à terre avant que tu ne puisses tirer.

Force / Précision - Parade / Contre-attaque :
Gobelin : 11 / 10
Daminia : 2 / 11

La hachette s'abat sans que tu ne puisses dévier le coup autrement qu'avec ton propre bras. La pierre l'entaille méchamment [-6 PVs] et le sang coule comme s'il exprimait sa joie d'être enfin libre. De rage, tu décoches ta flèche à toute allure.

Puissance / Précision - Esquive :
Daminia : 5 / 20 (coup critique !)
Gobelin : 5

La flèche part mais la douleur t'a empêché de tendre la corde de ton arc au maximum. la flèche se fiche néanmoins droit dans l'oeil de ton adversaire qui laisse échaper un meuglement de douleur. Mais tu ne t'arrêtes pas là et c'est à ton tour d'attaquer !

Puissance / Précision - Esquive / Contre-attaque :
Daminia : 19 / 15
Gobelin : 3 x 2/3 (oeil invalide) = 2 / 18


Tu bande ton arc de toutes tes forces cette fois et relâche ta flèche qui vient se ficher dans le ventre de la créature. Elle pousse un ultime râle et s'effondre, face contre terre. Elle s'agite dans quelques ultimes soubresauts, laissant son sang se répandre à terre, avant de s'immobiliser tout à fait. Tu reprends ton souffle pendant quelques secondes, le temps de t'assurer que la créature est bien morte. Tu as eu de la chance : normalement, les gobelins chassent en meute. Celui-ci devait s'être éloigné de son groupe.

Que fais-tu ? Une fois la viande de cerf et de biche dans ton sac, tu peux reprendre ta chasse. Tu peux aussi fouiller la créature mais le temps de le faire, ses petits copains ont des chances de rappliquer.

Le gobelin se jette sur moi. J'ai le temps de lever le bras que sa hache m'entaille. Le sangs coule a flot. Mon propre sangs, n'aillant pas la même odeur que celui de mes proies me donne la nausée. Pousser par la rage je tire une flèche. Mon bras touché me fit l'effet d'un nouveau coup. Ma vue se trouble le deux seconde et mon projectile atteint sa cible dans l’œil. Dans d'autre circonstance, j'aurai crier de joie mais là, c'était de douleur. Mon adversaire hurla aussi. Je ne sourit même pas. Étrange pour moi de pas rire dans la souffrance des autres.
Mais je veux sa mort. Je tire une nouvelle flèche et celle si touche le ventre. Je fut étonné de ma propre force. La rage en était telle la cause ?
Je regarde mon adversaire tomber dans un râle ultime, puis être secouer par des soubresaut avant de rendre l’âme. Je reprend ma respiration. Elle est sifflante. Je passe outre et regarde ma blessure. Elle n'est pas belle et commence à noircir. Je déchire une bande sur mon vêtement et entoure la plaie. je retient un cris. La douleur et vive et je ferme les yeux, serre les dents. Le bandage de fortune fini, je range la viande dans mon sac. Je m’approche de la créature pour voir l'état de mes flèches. la première était briser. Je sortis la seconde du ventre. Pleine de sangs mais intacte je la nettoie avant de la ranger avec les autres et reprend mon chemin.
Je m'étais pas rendu compte que la nuit était tomber. La forêt, déjà effrayante le jour, était totalement angoissante la nuit. Les hibou ululaient, les chauves-souris chassaient. Un loup hurla. Un brisement de feuilles me fit sursauter. Je me retourne. Rien.
Je me retourna brusquement. Rien. « Sûrement un animal qui passait dans le coin... enfin j'éspère »
Je fit alors demi-tour une nouvelle fois et continua mon chemin  Maintenant, il faisait vraiment froid et le ciel s'était couvert.

je commençais à m'inquiéter...  j'avais la sensation d'être suivie. Mais à chaque fois que je me retournais il n'y avait rien... Devenais-je folle ? D'où venait toute cette agitation ?  J' allongea le pas, la peur l'emportant peu à peu. Je regardais de tous les côtés, guettant le ciel se couvrir de nuages noirs et frissonnant non pas seulement à cause de la chute de température mais également pour cette étrange sensation d'être espionnée, suivie. Que faire ? Je m'étais pas rendu compte, mais je courrais. Depuis quand ? Aucune idée.
Une odeur de sanglier me stoppa net. Il y avait, derrière un grand chêne, un cochon sauvage, mangeant des glands. Je repris mon arc. Lui ne m’échappera pas !


[désolé pour le temps de la réponse, j'ai eu un empêchement]

[Y'a pas de problèmes, j'ai moi-même un peu de mal à répondre ces temps-ci ^^]



Le sanglier baisse la tête, attrapant quelques glands tombés à terre entre ses grosses molaires et les brise dans un craquement sec. Sur cette bête aussi, les maléfices de la forêt sont à l’œuvre : ses défenses sont bien plus longue que la normale, et tu devines qu'elles sont aussi plus solides. La magie noire de Camdibor transforme les animaux pour en faire des prédateurs. Chaque animal est mangé par un autre, un magnifique cercle de chasse. Sauf que toi, tu es au milieu du cercle, traquant toutes les proies sans jamais te faire chasser.


Jet de Précision / Puissance du tir : 1 / 16


Ton arc en main, tu vises et décoche ta flèche. Mais elle rebondit contre un arbre et va se perdre dans les fourrés.


Jet de réaction : 7


Le gros cochon regarde la flèche partir avant de lancer un *snort* et de se replonger dans ses glands. Soit il est très bête, soit il est certain qu'il ne risque rien. Tu profites de sa réaction pour décocher une nouvelle flèche.


Précision / Puissance du tir : 12 / 8

Réaction : 1


La pointe d'acier se plante dans le mollet du sanglier... qui ne remarque même pas qu'il est touché. Il continue de manger, sans bouger. Bon, réflexion faite, il est certainement juste très bête.
Mais à ce rythme, ça prendra des heures à le tuer. Heureusement, ton carquois a été enchanté par les Mages noirs de ta cité, te rechargeant en flèches de façon continuelle. Pas de risque de tomber à court de munitions. Mais bon, la nuit est tombée et les meilleures chambres d'auberges seront certainement prises avant que tu ne puisse rentrer si tu ne te dépêches pas. Qui plus es, même si la lune te prodigue une lumière suffisante pour bien viser, elle sera bientôt cachée par les nuages et tu y perdras en précision.
Tu tire une troisième flèche, espérant de tout cœur toucher ta cible cette fois.


Précision / Puissance du tir : 20 (ah bah on y est !) / 11


Cette fois, le carreau se plante directement dans gorge du monstre. Et visiblement, en plein sur une artère. La bête rugit, le sang coule. L'odeur ferreuse qui s'en échappe te met l'eau à la bouche.


Détection : 1


La bête renifle dans tous les sens, espérant trouver ce chasseur qui l'a attaqué. Mais il n'arrive pas à te trouver. Et ça la rend folle de terreur. Elle commence à trembler et à gratter le sol furieusement.


Que faire ? Continuer à tirer des flèches ou bien aller l'attaquer au poignard ? Tu peux aussi te transformer, palliant ainsi ta perte de vision et gagner en précision pour un combat rapproché.

Ce sanglier et vraiment énorme ! J'en oublie la chose qui me suivait et essaye de viser. Malheureusement, la flèche cogne un arbre et disparais dans un fossé. Le cochon la regarde et ne réagi pas plus que ça. Je hausse un sourcil. Prend un nouveau projectile, et le pointe vers ma proie. Il se fige dans son mollet. Pas de réaction. Pas même un relèvement de tête... Mon bras me fais mal. Une douleur vive l'envahi. Impossible de passer outre. Mais je retente une fois. Celle là touche assez violemment. L'artère dois être toucher. Qu'est-ce-que..? Cette odeur... Je ferme les yeux et me laisse bercer par le parfum du sang. Mes yeux deviennent rouges. "Non Dami reste toi-même !" Pendant ce temps, le sanglier chercher l'auteur de son mal. Mes pupilles passer du rouge au noir. Puis, le vermeil envaillie ma vision. Et d'un coup ma vue changea. Je percevais les moindre feuilles, les moindre petites bêtes comme les chenilles et les fourmis. La vie grouillais dans cette forêt mais c'était pas une vie normale. Même les plus petites bestioles avait l'air carnivores. Et la chose qui me ramena à la réalité fut l' émanation du sang du ma proie. Je retroussa les babines et grogna. Mais ma patte où j'avais la blessure était insoutenable. Je devais finir au plus vite. Je n'allez pas mourir à ma première quête! surtout une quête de chasse! Un chasseur ne meurt pas pendant son activité. Sauf si c'est lui qui devient la cible. Je pris mon courage a deux mains, heu... A deux pattes plutôt xd et sauta sur le sanglier qui était toujours en train de me chercher.

Rapidité :
Daminia : 18
Sanglier : 12

Force / Précision - Esquive / Contre-Attaque :
Daminia : 11 / 14
Sanglier : 2 / 6


Un éclair roux. C'est certainement ainsi que le sanglier te voit foncer sur lui. Tes griffes s'enfoncent profondément dans ses pattes et il pousse un puissant "GRUÏÏÏÏÏK !!!" avant de se débattre. Une fois que son sang coule à flot, tu le lâches et te retourne, prête à mordre. Mais c'est lui qui te fonce dessus, prêt à en découdre !


Force / Précision - Esquive / Contre-Attaque :
Sanglier : 17 / 9
Daminia : 20 / 12


Le cochon sauvage s'élance, toutes défenses dehors. Mais un bond souple propulse ta forme canine au-dessus de lui et tu lui atterrit immédiatement sur le dos.


Force / Précision - Esquive :
Daminia : 6 / 3
Sanglier : 20


Mais alors que tu tente de planter violemment tes crocs dans sa chair, il fait une embardée puissante qui te déséquilibre. Tu es propulsée sans comprendre. Ton dos heurte un arbre et tu entends un petit craquement qui proviens de tes os [-14 PVs]. Tu te relèves néanmoins. le sanglier gratte le sol, comme un taureau. Il semble confiant, persuadé qu'il va pouvoir te tuer. Il faut que tu l'achèves.
Comment est-ce que tu vas l'attaquer ?

J'arrive à le blesser. Pas beaucoup serte mais c'est déjà ça. Son sang coule, la blessure à l'air plus profonde que je je le croyais. Je le lâche, saute sur mes pattes et me retourne. Mais je n'ai pas le temps d'attaquer de nouveau qu'il fonce sur moi. Surement pousser par l'instinct de survie, je saute sur lui. Mais alors que j'allais planter mes crocs dans sa chair, voilà que le cochon me déséquilibre. Je vole. Que se passe t-il ? Je l'ignore. Mais alors que je me pose cette question, que je heurte quelque chose de dur. Très dur. CRAKKKK !! Un feulement de douleur m"échappa. Ma respiration ralenti. malgré la douleur, je me relève. Je le regarde et sais que jamais je l'aurai par la force. Alors, je tente le tout pour le tout. j'avance de deux pas. Puis, comme si j'étais à moitié morte, se qui était un peux le cas, je m'écroula. Je me coucha de façon à voir le sanglier, à pouvoir sauté à son cous quand il approchera.

Surement sûr de lui, il s'approche de moi. je ne bouge pas. Puis, d'un coup je lui saute a la gorge et ne le lâche plus, espérant l'achevé.

Un sanglier, c'est pas très malin. Et celui-là a beau l'être plus que les autres, il n'en reste pas moins un gros cochon. De fait, il s'approche de toi, sans penser à une possible ruse de ta part. Et c'est une tornade de poils, griffes et crocs qui lui bondit dessus alors que le piège se referme.


Jet de Force / Précision - Esquive / Contre-Attaque :
Daminia : 8 / 16
Sanglier : 3 / 15


Tu plantes tes crocs directement dans sa gorge mais tu ne mords pas assez fort pour percer la carotide. Néanmoins, il saigne comme un boeuf (ce qui est étrange pour un cochon) et son GRUÏÏÏÏK ! de souffrance te vrille presque les tympans.
Seulement tu es à portée de ses défenses et il en profite.


Jet de Force / Précision - Esquive :
Sanglier : 1 / 16
Daminia : 16


L'ivoire de ses défenses ne fait que t'érafler et tu jubiles de voir qu'il est très affaibli par son hémorragie. Mais dans un dernier assaut désespéré, il essaye de lancer une dernière attaque.


Jet de Force / Précision - Esquive / Contre-Attaque :
Sanglier : 14 / 15
Daminia : 13 / 13


La souffrance recèle une puissance insoupçonnée. De fait, il tente de broyer ta patte entre ses grosses molaires mais il ne fait que mâchonner tes doigts lorsque tu glisses sur le côté [-2 PVs]. Mais cette fois, il est à ta merci. Tu te jettes sur lui, prête à l'achever.


Jet de Force / Précision - Esquive :
Daminia : 16 / 17
Sanglier : 7


Tu te faufiles sous lui et tes griffes font le reste du travail. Tu es bientôt recouverte de sang et de tripes et dans un dernier couinement, le sanglier s'effondre.
Tu restes un instant pantelante devant ton travail accompli. Tu as finalement réussi à tuer ce gros bestiau. Mais ton travail n'est pas terminé.

Est-ce que tu souhaites le dépecer ? Tu peux aussi essayer de vérifier quelles parties de son corps, outre sa viande, tu pourrais vendre au marché. Ça pourrait être utile. Tu peux aussi le manger sur place pour récupérer tes points de vie.

J'entent le sanglier arriver. Je me prépare et quand il est à porté de crocs, j'attaque. Mais surement que mes blessures affaiblirent mes gestes car mes dents et mes griffes ne s'enfoncèrent pas comme il le faillé. Ma proie saignait quand même beaucoup mais cela le mit plus en colère qu'autre chose. Son cris perçant me grille les tympans sensibles.  Il lança ses défenses mais, comme par une chance inestimable, cela m' éraflera juste la jambe. Sa faiblesse causais par son hémorragie m'exulte. Du sang plein les babines je me passe la langue pour me nettoyer un peu.  Mais à peine j'ai le temps de dire ouf que ma patte et mordillée. Mais alors que je j'arrive à me décaler sur le coté, une sorte de de force me pris. Je DEVAIS le tuer. Je me projette sous ma proie à moitié folle, et après plusieurs coup de griffes bien placer, il s’effondre. Je me relève, haletante, la langue pendante, les oreilles coucher, la queux entre les pattes. Les jambes chancelantes, le pelage couvert de sang, les pupilles vermeil, je ne sais que faire. Je veux mettre un terme à cette chasse mais d'un autre coté il faut que je reprenne des force... Que faire ?

Après réflexion faite... Mon âme de renard pris le dessus et, sans regarder ce que j'avalais, dévora le sanglier... Repas fini, je me lécha les babines, puis nettoya mes griffes, mon pelage. Puis, je repris forme humaine. Mes vêtements étaient déchirés. Je regarda se qui resté de la bête, et coupa ses défenses. On sais jamais, ça peux toujours servir. Puis les rangea dans mon sac.
Je repris ma route, mais malgré l'énergie que la viande m'avait donnée, je m'écroula de fatigue...

Le cliquètement de l'acier de bottes de soldats te tire de ton évanouissement. Tu te relève doucement, consciente que tes blessures se sont refermées durant ton repos mais pas de beaucoup [+5 PVs]. Tu lèves la tête vers le ciel pour essayer de deviner combien de temps tu as dormi. Tu n'es pas une experte dans le déchiffrement de la carte du ciel mais tu estimes ton temps de sommeil à quelque chose comme deux heures, pas beaucoup plus. Ton sac de viande est toujours à côté de toi, c'est déjà ça.
Le bruit de métal contre la pierre te revient aux oreilles. Qu'est-ce que c'est ? Des brigands ? Des soldats ? Alliés ou ennemis ?

Jet d'écoute : 4

Tu tends l'oreille mais rien. Tu ne parviens même pas à déterminer si c'est une seule personne ou plusieurs, la forêt déformant tous les sons. Tout ce que tu sais, c'est qu'il s'agit d'un bruit de pas.

Que fais-tu ? Est-ce que tu vas voir ? Ou est-ce que tu reprends ta chasse ? Tu peux aussi essayer de te rendormir pour te reposer.

Un bruit. C'est quoi ? De l'acier ? Oh non !! Des soldats sont là ! Enfin, des hommes... Je ne sais pas exactement. Quelle heure était t-il ? Je n'en savais rien. Je regarda le ciel pour essayer de définir le nombre de temps que j'avais dormi. Je dirais deux heures mais je n'étais pas sure. Mon sac ! Ouf il est toujours là avec la viande. Heureusement, je ne voulais pas tout recommencer ! C'est alors que le bruits de intrus me parvient à nouveau. Comme avais put les oublier eux... Ou lui ? Impossible de définir le nombre. Bizarre.... Quoi qu'il en soit, mes blessures étaient plus ou moins guéris.

Que faire ? Allez voir les gens ? Et si c'était des ennemis ? Se jeter dans la gueule du loup n'était pas très intelligent. Mais si c'était des allier ? Avoir un coup de mains ne pourrais que me faire du bien. Je tenta alors le tout pour le tout. Pris mes affaires et me dirigea vers l'objet de ma curiosité. Je me cacha dans un buisson. Ma vision réduite, je ne vit qu'une seule personne. Mais il avait l'air de parler avec un autre. Je resta là, essayant d'écouter. Mon odorat m'informa qu'il y avait du sang ... Du sang humain ... Y avait t-il un blesser ? Mais je n'osa sortir de ma cachette et patienta. L'avenir me dira ce qui se passera....

Jet de rencontre : 14


C'est un soldat. Cela te semble évident. Il est armé d'une arme d'hast, une lance à trois pointes qu'on appelle Corseque, ou "Chauve-Souris" qui pend actuellement dans son dos. Cet homme est donc forcément un lancier. Une tunique de cuir renforcée de métal aux bras, aux genoux et à la poitrine ainsi que des gants et des bottes métalliques forment son armure. De plus, il porte un brassard à son avant-bras droit.
La couleur du brassard te saute aux yeux : bleu. D'un bleu profond. Un Walentirien. Un ennemi de Camdibor. Qu'est-ce qu'un ennemi fait si près de la cité ? Est-ce un éclaireur ?

Alors que tu observes l'homme, il se remet à parler. Sauf qu'il est seul. Tu tends l'oreille :


Jet d'écoute : 19


-Fais chier, c'est toujours moi qui doit aller faire les observations, jamais les autres... Tsss... J'les retiens, ces enfoirés. J'suis sûr qu'ils ont triché à la courte-paille. Hein, qu'est-ce que t'en dis, toi ?

Tu te raidis dans ta cachette. L'homme semble soudainement s'adresser à toi. Est-ce qu'il t'a repéré ? Mais non. Sa main gauche entre soudainement dans ton champ de vision. Tenue par les cheveux, une tête coupée. Les yeux révulsés et la langue pendante, l'homme à qui elle appartenait a dû être décapité. Peut-être par l'homme qui se tient devant toi ?


Jet d'observation : 20


Heureusement pour toi, l'homme est assez près pour que tu puisses observer en détail la tête tranchée. La blessure est ferme mais plus déchirée que tranchée. Qui plus est, un morceau de bois est encore fiché dans la chair sanguinolente. Tu jettes un coup d’œil rapide à l'arme du soldat : c'est bien ça, du sang sur manche, à la jonction entre le bois et le métal, et une éraflure sur le bois. C'est bien cet homme qui l'a abattu. En fonction du sang qui goutte plus qu'il ne coule, tu en déduis qu'il a été tué il y a une heure tout au plus.


Jet de discrétion / détection :
Daminia : 15
Soldat : 17


Tout à coup, ton bras glisse sur la terre et quelques cailloux roulent. C'est un tout petit bruit mais c'est suffisant pour que le garde se mette tout de suite en posture de combat, la main sur le manche de son arme.

-Qui va là ?

Que fais-tu ? Tu peux sortir de ta cachette soit pour l'attaquer, soit pour te faire passer pour un allié. Tu peux aussi t'éloigner et faire comme si tu n'avais rien vu ou rapporter tout ça au secrétaire.

Un lancier. J'aime bien les lanciers. Sauf quant ils sont ennemis. Attaque à distance, comme les archers. Enfin, tant qu'ils ont leur lance. Bref je n'étais pas là pour ça. Je rêve ou... ? Non c'est bien un Walendirien. Le bleu de son brassard ne trompe pas. Purée que faire ?

Quand il prend la parole, je comprend qu'il est juste là pour observer. Et il à pas l'air joyeux d'être là. De quoi ? A qui parle t-il ? Je cherche et ne vois personne. M'as t-il vue ?
c'est alors que je la vois. La tête. Sans le corps. Complétement déchirée. Un bout de bois et encore figé dans la chair. Et c'est bien cet homme qui l'a décapité. Le sang sur son arme le démontre.
Le sang ne coule plus vraiment. Il tombe gouttes par gouttes. Apparemment, une heures c'était écoulée depuis la mort du Camdiborien. Enfin, j'imagine qu'il était des miens.
En voulant modifier ma position, mon bras glissa et des cailloux glissèrent.


-Qui va là ?

Flûte ! il m'a attendu ! Je cacha mon sac et mon arc, pris juste mes couteaux, est sortit, un air effrayer et malade. Je cacha aussi mon propre brassard et d'une voix enfantine répondit :

-C'est.. C'est moi monsieur. Je me suis perdue. Enfin, j'ai fuguée.
Petit à petit je m’approcha de lui. Mais ne fit rien de plus. Je le regarda, avec des yeux d'enfant battue.

[Hoy hoy o/ On m'a coupé le net pendant les vacances, c'est pour ça que j'ai pas pu répondre plus tôt. Désolé...]

Jet de charisme : 8


Le lancier ne sembla pas très convaincu par ta prestation. Il faut dire que jouer les enfants perdus quand on a près de vingt ans, ça joue pas vraiment en ta faveur. Mais même s'il semble méfiant, il n'a pas encore dégainé son arme.

-T'es perdue, hein ? Dis-moi, tu te ficherais pas un peu de moi ?


Jet d'observation : 6


Il t'observe de haut en bas mais il ne voit pas tes couteaux. Une chance. Tu es maintenant assez près de lui pour l'attaquer si tu lui sautes dessus. Mais ) la distance où tu te trouves, il aura peut-être le temps d'esquiver ou de parer. Si tu essaies de te rapprocher un peu plus, ça pourrait fonctionner mais il pourrait aussi se méfier.
Que fais-tu ?

[ c'est pas grave ne temps fais pas]

-T'es perdue, hein ? Dis-moi, tu te ficherais pas un peu de moi ?

Je souris avec un air désolé avant de répondre.

-C'est vrais que ma situation n'est pas très facile à croire, mais j'ai pas trop envie de parler de ce qu'il m'arrive. Je... J'ai... Ma mère est partie alors j'ai quitté notre cabane sans le dire à mon père.

Des fausses larmes coulèrent sur mes joues, c'était pas trop dur avec la peur qui me nouer le ventre. Voulant en savoir plus sur l'homme décapité, je regarda la tête avant de laisser un moment passer et demanda:  

-Qui...Qui c'est ? Pourquoi ? Pourquoi l'avez vous tuer ?

Je recula pour le style, avec un air totalement terrorisé. Pour être sure que ça serai crédible, je me revis quelques années avant, lorsque mes parents m'avais mit dehors. Mes yeux s'ouvrirent et je commença à reculer plus vite. Un caillou bien placer me fit tomber et je continua sur le dos. Un couteau manqua de tomber. Au pire, je pourrai dire que c'était un couteau pour dépecer. Je ne savais pas encore ce que j' aller faire, mais j’essayai d'improviser.
Lorsque mon dos toucha un obstacle je me stoppa et bougea plus. Lui était en train d'avancer un peux en parlant. Quand il fus proche de moi, je me mit à trembler comme si je savais que ma vie était fini.
L'envie de me transformer était forte mais je ne pouvais pas. J'étais trop faible. La main sur le manche de mon couteau, je ne fis rien de plus, attendant.

Je ne voulais pas lui sauté encore, voulant connaître un peu plus ses intentions. Je risqua une question trop, bien trop directe.

-Que... Que faites vous dans cette forêt ? Elle est maudite. Moi je chasse et sur un cerf j'ai eu très peux de viande comestible. Le reste était envahie par une maladie étrange. Les animaux sont maudit comme cette forêt. Quitter la. Elle est mauvaise. Moi même je suis tomber par hasard. Je cherche la sortie. Je suis totalement perdue... J'ai peur, j'ai faim, j'ai mal. Et je suis seule.

Un truc clochait dans mes paroles. Je chasser mais j'avais pas d'arme en vue. j’ espéra  qu'il ne capterai pas mais j'en douter . Je déglutie et attendit....

Jet de charisme : 14

L'homme hésite. Un peu. Il abaisse sa lance, sans te quitter des yeux, une méfiance toujours présente dans le regard.

-Bah, t'as pas l'air trop dangereuse. Si tu sens que cette forêt est maudite, tu ne dois pas être une Camdiborienne.

Il lève la main qui tient la tête tranchée pour l'amener à la hauteur de ses yeux, comme s'il se demandait qui ça pouvait bien être.

-Ce type, c'était un garde de la ville que j'ai tué. Il s'est un peu trop approché et il a fallu que je le bute. M'enfin bon, c'était un chien de Camdibor, on va pas pleurer sur lui.

Il exécute un mouvement de balancier avec son bras et lance le crâne dans l'obscurité des arbres. Tu entends un son mou lorsqu'il atterrit plus loin.

-Bah, on m'avait demandé de l'enterrer, mais les loups peuvent bien le bouffer, j'en ai rien à faire. Écoute, ajoute-t-il, tu devrais partir d'ici. C'est pas l'endroit rêvé pour une jeune femme. Prends ton père avec toi et rends-toi à Walentir. Tu trouveras surement du travail là-bas si tu ne dis pas que tu vivais près de Camdibor.

L'homme t'observe encore, attendant de voir ce que tu vas faire. Il commence à te regarder d'un drôle d'air. Ses yeux s'arrêtent sur ta poitrine et un peu plus bas. Visiblement, il vient de se rendre compte qu'il est seul, avec une jeune fille, dans une forêt isolée de tout. Peut-être peux-tu en tirer ton parti ?

Dès que la lame s'abaisse, je me relève. Il me fais un blabla que j'écoute pas. Je l'observe, comme un renard étudie sa proie. Tous ses gestes deviennent faciles à interprété. Je hausse juste un sourcil  quand il dit que l'homme est camdiborien. Je repense au fils du secrétaire et un sursaut me pris. Ce qui est sur,c'est que moi je ne pleurerai pas sur sa tombe a lui quand je l'aurai tuer ce chien de Walendirien ! Je le regarde sévère mais ne dit rien. Il jette la tête et j'ai envi de sauter sa gorge ! "Ta tète à toi va finir dans les trophée de Camdibor ! "
Partir a Walendir ? Ahaha et mais c'est pas une mauvaise idée ! Je pourrai assassiné quelque idiots.

-Comment vous appelez vous ? Que si jamais j'y vais, on me tue pas sans savoir que c'est vous qui m'avait proposer de venir....

Tous en parlant, je m'approche de lui, regarde la lance, lui fais lâcher. Je sais que je ne suis pas très charmeuse mais... Vu comment il me regarde, je peux imaginé que je ne le laisse pas indifférent. Me voilà très proche de lui. Je sourit sensuellement et attend de voir ce qu'il va se passer...

[Désolé du retard o/]


Jet de charisme : 11


L'homme semble légèrement gêné par ton approche mais il répond tout de même :

-Mon... mon nom est Ranvis Drugorter. Je...

Il se tait tout à coup. Ses yeux regardent derrière toi et expriment un mélange de stupeur et de peur. Tu te retournes immédiatement.
C'est un nouvel homme. Plus âgé, à en juger par la barbe coupée court qu'il porte. Une cicatrice lui barre l’œil et une autre part du coin gauche de la lèvre et rejoint le menton.Lorsqu'il s'adresse au soldat (Ranvis, comme il s'est présenté), c'est une voix forte qui sort :

-Soldat Drugorter, j'espère que vous avez une bonne explication pour être en compagnie d'une Camdiborienne ! Le fait qu'elle soit pratiquement dans vos bras peut-être considéré un signe de trahison !

Ranvis balbutie, cherche ses mots mais explique petit à petit son histoire. Il s'adresse à l'homme en le désignant du nom de "Capitaine Korcen" Le nouveau venu te regarde, suspicieux.


Jet de charisme : 4


Malheureusement, le capitaine ne semble pas très sensible à tes charmes. Il dégaine son arme, une grosse claymore aussi longue et large que lui (et il est plutôt costaud), brillante d'argent.

-Soldat Drugorter, je vous rappelle que notre mission est censé rester secrète. Nous partons assassiner Shadir et nous ne souffrirons d'aucun témoins.

Ça commence à sentir mauvais pour toi. Heureusement, le soldat essaie d'argumenter et tu as probablement un petit temps de répit. A toi de le mettre à profit !